Paul Celan, sauver la clarté – Marie-Hélène Prouteau

Paul Celan, sauver la clarté – Marie-Hélène Prouteau

Unicité – 141 pages

 

En avril 2025, Marie-Hélène Prouteau a présenté cet essai à Europa Nantes lors d’une rencontre littréraire passionnante .  Il est maintenant disponible à la bibliothèque.

Sauver la « clarté ». Cette note heureuse dans l’échange de Paul Celan avec Nelly Sachs peut sembler inattendue chez celui dont les poèmes sont traversés par les ombres de la Shoah. Marie-Hélène Prouteau s’y attache à partir de deux moments-repères dans l’écriture du poète.  Été 1961. Paul Celan a quarante-et-un ans. En vacances en Bretagne, il écrit, après une visite à Brest, « Après-midi avec cirque et citadelle ». Juillet 1968, il est à Paris et écrit « Du fond des marais », un des « poèmes de 1968 ». Deux poèmes et comme une échappée de clarté. Ils ont suscité deux fresques murales pérennes des artistes Jan Wilhem Bruins et Giuseppe Caccavale, l’une à Leyde, l’autre, rue Tournefort à Paris. Sauver la clarté nous emmène dans une déambulation littéraire entre les poèmes de Paul Celan, une de ses traductions de Mandelstam, les Aphorismes de Kermorvan ou des lettres à ses amis et son épouse, la graveuse Gisèle Celan-Lestrange.

Dans cette soif de vivre, c’est une « calligraphie de lumière », qu’a su détecter Marie-Hélène Prouteau, écrit dans la préface Mireille Gansel

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