Souvenirs d’une adolescence à Hambourg

Kiepenheuer & Witsch – 277 pages

Uwe Timm raconte ses années d’apprentissage en tant que fourreur dans le Hambourg des années cinquante. Il parle de ses expériences dans le métier et dans le monde de la mode, d’amitiés particulières et des livres qui ont changé sa vie.

Hambourg 1955 – A 14 ans, Uwe est placé en apprentissage de fourreur par son père, propriétaire d’un magasin de fourrures, alors qu’il se rêve déjà écrivain. Au rythme des horloges à piquer, le jeune homme apprend la précision créative qu’exige ce métier aujourd’hui presque disparu, ses pièges et ses secrets. Il écoute les histoires de ses collègues, se fait des amis avec lesquels il découvre la ville, la politique, l’amour, le jazz et la littérature.

Si vous avez aimé die Erfindung der Currywurst, Morenga  et Am Beispiel meines Bruders, vous serez certainement très intéressé par le dernier livre de Uwe Timm. Sinon, c’est l’occasion de découvrir un auteur passionnant dont chaque œuvre éclaire l’Histoire allemande.

Alle meine Geister est tout à la fois un grand livre de souvenirs, précis et poétique, un tableau du Hambourg des années 50 et un roman initiatique.


Im Alter von 83 Jahren legt Uwe Timm eines seiner großartigsten Bücher vor. In leichtem, schwebenden Erzählton führt er einen magischen, behutsamen, intensiven Dialog mit seinem Leben.“

Katrin Krämer NDR

„Vom Kürschnergesellen zum Schriftsteller. Der 83-jährige Uwe Timm legt einen klugen, unangestrengten Bildungsroman in eigener Sache vor: „Alle meine Geister“. Man erfährt in Timms fesselnd-flüssiger und abwechslungsreicher Darstellung nicht nur viel über das alte Kürschnerhandwerk, das der wachsende gesellschaftliche Widerstand gegen die Tötung von Pelztieren in die Existenzkrise stürzen sollte. Es geht auch um Kundenwünsche und Modetrends, und lebendig wird allemal die Arbeitswelt der ausgehenden 50er Jahre – mit „einem Chef, der den Herrn im Haus markiert, und Beschäftigten, die darob die Faust in der Tasche machen (müssen).“

Markus Schwering Frankfurter Rundschau